quisel
23.05.2019 19:27:42
- #1
Bonjour à tous,
encore un des fameux sujets de voisinage :
Notre voisin a planté un conifère à environ un mètre et demi de la limite de propriété. D'une part, selon moi, c’est trop près de la limite, d’autre part, cela va à l’encontre de ce que permet le plan d’aménagement. Sont autorisés des arbres à feuilles caduques adaptés au site, à titre exceptionnel du genévrier, de l’épicéa, du pin cembro, du pin sylvestre ou de l’if. Son arbre n’appartient à aucune de ces espèces.
Je l’ai déjà approché en lui demandant de déplacer l’arbre au moins un peu en arrière par rapport à la limite, jusqu’à présent avec un succès modéré, puisqu’après tout c’est son jardin et il peut y faire ce qu’il veut. Eh bien, j’aimerais encore un moment continuer sur cette voie amiable, mais si aucune prise de conscience n’a lieu, j’aimerais néanmoins envisager une autre démarche.
Deux questions de mon point de vue :
- La violation de la distance, qui selon la loi sur le voisinage de Hesse devrait être d’environ 4 mètres pour l’arbre, peut-elle être contestée jusqu’à cinq ans après la plantation ?
- La violation des dispositions du plan d’aménagement peut-elle être "reprochée" pendant combien de temps ?
Oui, le dialogue reste prioritaire. Mais toutes mes propositions concernant des alternatives ou des compromis (on peut aussi se rencontrer à mi-chemin sur la distance) sont malheureusement restées lettre morte.
encore un des fameux sujets de voisinage :
Notre voisin a planté un conifère à environ un mètre et demi de la limite de propriété. D'une part, selon moi, c’est trop près de la limite, d’autre part, cela va à l’encontre de ce que permet le plan d’aménagement. Sont autorisés des arbres à feuilles caduques adaptés au site, à titre exceptionnel du genévrier, de l’épicéa, du pin cembro, du pin sylvestre ou de l’if. Son arbre n’appartient à aucune de ces espèces.
Je l’ai déjà approché en lui demandant de déplacer l’arbre au moins un peu en arrière par rapport à la limite, jusqu’à présent avec un succès modéré, puisqu’après tout c’est son jardin et il peut y faire ce qu’il veut. Eh bien, j’aimerais encore un moment continuer sur cette voie amiable, mais si aucune prise de conscience n’a lieu, j’aimerais néanmoins envisager une autre démarche.
Deux questions de mon point de vue :
- La violation de la distance, qui selon la loi sur le voisinage de Hesse devrait être d’environ 4 mètres pour l’arbre, peut-elle être contestée jusqu’à cinq ans après la plantation ?
- La violation des dispositions du plan d’aménagement peut-elle être "reprochée" pendant combien de temps ?
Oui, le dialogue reste prioritaire. Mais toutes mes propositions concernant des alternatives ou des compromis (on peut aussi se rencontrer à mi-chemin sur la distance) sont malheureusement restées lettre morte.