Mecc
02.05.2013 20:23:24
- #1
Bonjour cher forum,
pendant que nous attendons le prochain projet de notre maison, je continue à m’occuper du chauffage. Dans un fil précédent, j’avais déjà mentionné que nous avons opté pour une chaudière à condensation au gaz et une isolation 15 % meilleure, donc une construction neuve standard.
Nous avons maintenant demandé à notre entrepreneur général s’il était possible de prévoir un plancher chauffant avec une température de départ basse adaptée à une pompe à chaleur et donc une densité de pose plus élevée (en vue d’un éventuel passage ultérieur à ce type d’installation). Il a répondu qu’une température de départ inférieure à 40 °C n’a pas de sens pour une chaudière à condensation au gaz. Je n’arrive pas à y croire, j’ai beaucoup lu à ce sujet sur Internet, notamment que l’effet de condensation serait d’autant plus important que la température de retour serait particulièrement basse. Et cela n’est possible qu’avec une température de départ plus basse correspondante, ou me trompé-je ? Sinon, j’avais imaginé fixer une température de départ tournée vers l’avenir, de manière contraignante pour la planification du chauffage.
Je serais ravi d’avoir vos conseils !
Cordialement, Mecc
pendant que nous attendons le prochain projet de notre maison, je continue à m’occuper du chauffage. Dans un fil précédent, j’avais déjà mentionné que nous avons opté pour une chaudière à condensation au gaz et une isolation 15 % meilleure, donc une construction neuve standard.
Nous avons maintenant demandé à notre entrepreneur général s’il était possible de prévoir un plancher chauffant avec une température de départ basse adaptée à une pompe à chaleur et donc une densité de pose plus élevée (en vue d’un éventuel passage ultérieur à ce type d’installation). Il a répondu qu’une température de départ inférieure à 40 °C n’a pas de sens pour une chaudière à condensation au gaz. Je n’arrive pas à y croire, j’ai beaucoup lu à ce sujet sur Internet, notamment que l’effet de condensation serait d’autant plus important que la température de retour serait particulièrement basse. Et cela n’est possible qu’avec une température de départ plus basse correspondante, ou me trompé-je ? Sinon, j’avais imaginé fixer une température de départ tournée vers l’avenir, de manière contraignante pour la planification du chauffage.
Je serais ravi d’avoir vos conseils !
Cordialement, Mecc