11ant
10.04.2019 16:11:35
- #1
Je devrais puiser ici dans la sagesse collective, dans mon cercle d'amis la question a été soulevée :
Si une pièce est un étage complet, elle est généralement traitée de manière différente, c’est-à-dire
lorsqu’il s’agit d’un étage sous le toit, on évalue selon la règle « quelle est sa taille par rapport à l’étage directement adjacent en dessous » ;
lorsqu’il s’agit d’un sous-sol, on évalue selon la règle « à quel point il dépasse en moyenne du sol ».
Dans le contexte d’un fort dénivelé, ma question est la suivante : quelqu’un a-t-il de l’expérience ou des connaissances selon lesquelles l’argumentation a été appliquée avec succès pour utiliser la règle d’évaluation des étages supérieurs aussi pour les étages inférieurs, c’est-à-dire
appliquer un étage en retrait au sens d’une surface plus petite par rapport à l’étage directement supérieur à un sous-sol ?
Dans le cas concret, un sous-sol en RLP dépasserait en moyenne plus de 1,40 m du terrain, mais serait de surface nettement plus petite que le rez-de-chaussée,
spécialement si l’on ne compte que la surface habitable (car il n’accueillerait qu’un petit appartement et surtout des pièces de stockage et techniques).
L’étage non complet visé, en tant qu’étage en retrait sous le toit, ne serait pas un étage complet – doit-on accepter que
le même étage, bâti non au-dessus mais en dessous du rez-de-chaussée,
serait soudainement un étage complet –
simplement à cause du dépassement moyen d’un mètre quarante ?
Cela relèverait-il encore de « la vie est injuste » ou déjà de « discrimination entre étages supérieurs et inférieurs non complets » ?
Si une pièce est un étage complet, elle est généralement traitée de manière différente, c’est-à-dire
lorsqu’il s’agit d’un étage sous le toit, on évalue selon la règle « quelle est sa taille par rapport à l’étage directement adjacent en dessous » ;
lorsqu’il s’agit d’un sous-sol, on évalue selon la règle « à quel point il dépasse en moyenne du sol ».
Dans le contexte d’un fort dénivelé, ma question est la suivante : quelqu’un a-t-il de l’expérience ou des connaissances selon lesquelles l’argumentation a été appliquée avec succès pour utiliser la règle d’évaluation des étages supérieurs aussi pour les étages inférieurs, c’est-à-dire
appliquer un étage en retrait au sens d’une surface plus petite par rapport à l’étage directement supérieur à un sous-sol ?
Dans le cas concret, un sous-sol en RLP dépasserait en moyenne plus de 1,40 m du terrain, mais serait de surface nettement plus petite que le rez-de-chaussée,
spécialement si l’on ne compte que la surface habitable (car il n’accueillerait qu’un petit appartement et surtout des pièces de stockage et techniques).
L’étage non complet visé, en tant qu’étage en retrait sous le toit, ne serait pas un étage complet – doit-on accepter que
le même étage, bâti non au-dessus mais en dessous du rez-de-chaussée,
serait soudainement un étage complet –
simplement à cause du dépassement moyen d’un mètre quarante ?
Cela relèverait-il encore de « la vie est injuste » ou déjà de « discrimination entre étages supérieurs et inférieurs non complets » ?