hugo_r
24.06.2018 21:07:29
- #1
Bonjour, je suis nouveau ici sur le forum. Merci si quelqu’un a envie de dire quelque chose à propos de mon problème !
J’ai reçu un permis de construire (BG) pour rénover, sous-solifier et agrandir une petite maison de vacances (40 m2), vieille de plus de 50 ans, située en zone agricole. Selon le BG, deux murs et demi devaient rester en place, tandis que dans le troisième mur (demi-mur) un conduit de cheminée central pouvait être démoli, et de grandes ouvertures pour fenêtres à droite et à gauche étaient autorisées. En d’autres termes : le mur 3 n’aurait dû survivre qu’en fragments. D’où le terme « demi » mur.
Or, lors de la démolition de l’ancien bâtiment, ces fragments du mur 3, respectivement du « demi-mur », se sont effrités. La maçonnerie était friable. Deux murs restent néanmoins impeccables. Le service de l’urbanisme a alors ordonné une suspension immédiate des travaux et a déclaré le BG « illégal », car il ne resterait plus « rien » de l’ancienne maison, ce qui ne serait plus une rénovation mais une construction neuve, à laquelle on n’aurait jamais consenti.
Je me retrouve donc sans vieille maison et avec des coûts considérables pour le sous-sol et l’étaiement des murs. Le service de l’urbanisme hausse les épaules, ce serait mon problème, j’aurais enfreint les conditions.
Comment puis-je continuer rapidement les travaux ?
J’ai reçu un permis de construire (BG) pour rénover, sous-solifier et agrandir une petite maison de vacances (40 m2), vieille de plus de 50 ans, située en zone agricole. Selon le BG, deux murs et demi devaient rester en place, tandis que dans le troisième mur (demi-mur) un conduit de cheminée central pouvait être démoli, et de grandes ouvertures pour fenêtres à droite et à gauche étaient autorisées. En d’autres termes : le mur 3 n’aurait dû survivre qu’en fragments. D’où le terme « demi » mur.
Or, lors de la démolition de l’ancien bâtiment, ces fragments du mur 3, respectivement du « demi-mur », se sont effrités. La maçonnerie était friable. Deux murs restent néanmoins impeccables. Le service de l’urbanisme a alors ordonné une suspension immédiate des travaux et a déclaré le BG « illégal », car il ne resterait plus « rien » de l’ancienne maison, ce qui ne serait plus une rénovation mais une construction neuve, à laquelle on n’aurait jamais consenti.
Je me retrouve donc sans vieille maison et avec des coûts considérables pour le sous-sol et l’étaiement des murs. Le service de l’urbanisme hausse les épaules, ce serait mon problème, j’aurais enfreint les conditions.
Comment puis-je continuer rapidement les travaux ?