4Motion
14.10.2019 21:25:04
- #1
Bonjour à tous,
un jardinier a construit un mur pour nous. Le soi-disant droit de franchissement stipule que le mur doit être construit à 50 cm de la limite si le mur touche une surface agricole.
Le jardinier devrait en fait le savoir. Je le lui ai en plus dit plusieurs fois lors de la réunion. Malheureusement, il ne l’a pas pris très au sérieux. D’un côté, il y a maintenant environ 55 cm et de l’autre seulement 45 cm de distance.
J’ai bêtement pas pensé qu’il pourrait se tromper autant dans ses mesures et non plus que le fermier se soucierait de 5 cm. Les deux sont arrivés.
Le mur a malheureusement déjà été payé comme premier acompte pour d’autres travaux. Un autre acompte est encore ouvert.
Le jardinier est en principe un homme avec qui on peut parler. Mais il dit qu’il ne changera rien à cause de 5 cm, car les poteaux de délimitation sont de toute façon imprécis.
Le fermier n’est pas vraiment disposé à une négociation/conciliation.
1. Comment cette histoire pourrait-elle théoriquement continuer ? C’est-à-dire, indépendamment de ce qui est raisonnable, quelles sont les possibilités ?
2. Et maintenant : Que feriez-vous parmi ces possibilités ?
un jardinier a construit un mur pour nous. Le soi-disant droit de franchissement stipule que le mur doit être construit à 50 cm de la limite si le mur touche une surface agricole.
Le jardinier devrait en fait le savoir. Je le lui ai en plus dit plusieurs fois lors de la réunion. Malheureusement, il ne l’a pas pris très au sérieux. D’un côté, il y a maintenant environ 55 cm et de l’autre seulement 45 cm de distance.
J’ai bêtement pas pensé qu’il pourrait se tromper autant dans ses mesures et non plus que le fermier se soucierait de 5 cm. Les deux sont arrivés.
Le mur a malheureusement déjà été payé comme premier acompte pour d’autres travaux. Un autre acompte est encore ouvert.
Le jardinier est en principe un homme avec qui on peut parler. Mais il dit qu’il ne changera rien à cause de 5 cm, car les poteaux de délimitation sont de toute façon imprécis.
Le fermier n’est pas vraiment disposé à une négociation/conciliation.
1. Comment cette histoire pourrait-elle théoriquement continuer ? C’est-à-dire, indépendamment de ce qui est raisonnable, quelles sont les possibilités ?
2. Et maintenant : Que feriez-vous parmi ces possibilités ?