schiff
22.02.2016 19:39:38
- #1
Bonsoir,
ma question concerne notre escalier qui relie le rez-de-chaussée à l'étage supérieur. En bas dans le couloir et en haut dans le couloir, nous poserons des carreaux. L'escalier lui-même comporte 15 marches et a une largeur d'un mètre. L'escalier monte simplement tout droit.
Notre architecte avait en fait prévu l'escalier comme un escalier traditionnel en béton coulé sur place avec un revêtement (pierre naturelle, carreau ou bois). Cependant, ces variantes ne nous conviennent pas vraiment.
Notre architecte a mentionné les inconvénients suivants : un élément préfabriqué nécessaire (escalier) en béton apparent est plus cher et la protection ainsi que la finition sont complexes. Protéger l'escalier contre les dommages et les salissures est difficile, car chaque éclat ou salissure, par exemple avec de l'huile de coffrage ou de la rouille, sera ensuite visible. De plus, le plâtrier intérieur, le poseur de chape, etc. doivent traiter l'escalier comme un revêtement fini. Globalement, les coûts doivent aussi être plus élevés, mais l'architecte n'a malheureusement pas pu me donner de montant.
Qu'en pensez-vous ? Les inconvénients mentionnés par l'architecte prédominent-ils ? Peut-on estimer grossièrement, pour mon escalier, les surcoûts par rapport aux alternatives mentionnées ci-dessus ?
Mon point de vue serait en fait que l'escalier soit réalisé en gros œuvre, ensuite un voile de protection soit posé pendant la phase de construction et que, pour la finition, l'escalier soit imprégné et scellé. Ou bien naturellement, l'imprégner et le sceller directement, puis poser le voile de protection.
Cordialement
schiff
ma question concerne notre escalier qui relie le rez-de-chaussée à l'étage supérieur. En bas dans le couloir et en haut dans le couloir, nous poserons des carreaux. L'escalier lui-même comporte 15 marches et a une largeur d'un mètre. L'escalier monte simplement tout droit.
Notre architecte avait en fait prévu l'escalier comme un escalier traditionnel en béton coulé sur place avec un revêtement (pierre naturelle, carreau ou bois). Cependant, ces variantes ne nous conviennent pas vraiment.
Notre architecte a mentionné les inconvénients suivants : un élément préfabriqué nécessaire (escalier) en béton apparent est plus cher et la protection ainsi que la finition sont complexes. Protéger l'escalier contre les dommages et les salissures est difficile, car chaque éclat ou salissure, par exemple avec de l'huile de coffrage ou de la rouille, sera ensuite visible. De plus, le plâtrier intérieur, le poseur de chape, etc. doivent traiter l'escalier comme un revêtement fini. Globalement, les coûts doivent aussi être plus élevés, mais l'architecte n'a malheureusement pas pu me donner de montant.
Qu'en pensez-vous ? Les inconvénients mentionnés par l'architecte prédominent-ils ? Peut-on estimer grossièrement, pour mon escalier, les surcoûts par rapport aux alternatives mentionnées ci-dessus ?
Mon point de vue serait en fait que l'escalier soit réalisé en gros œuvre, ensuite un voile de protection soit posé pendant la phase de construction et que, pour la finition, l'escalier soit imprégné et scellé. Ou bien naturellement, l'imprégner et le sceller directement, puis poser le voile de protection.
Cordialement
schiff