KlaRa
19.03.2016 16:30:43
- #1
Tout cela donne à secouer la tête !
Le terme "Anhydritestrich" est désuet, n'appartient plus depuis longtemps au vocabulaire technique et est appelé depuis 2003 "Calciumsulfatestrich" (CAS).
Le fait que les chapes en sulfate de calcium "absorbent l'eau" est en principe correct si l'on considère l'isotherme de sorption spécifique au matériau, mais c'est plutôt de nature académique. Les chapes en ciment s'humidifient à partir d'environ 65 % à 70 % d'humidité relative de l'air, tandis que les chapes CAS seulement au-delà de 85 %, et cela de manière marginale.
Une chape ne sera pas poncée afin d'atteindre la portance. Car les chapes, peu importe la façon dont elles sont posées, ne sont pas un élément porteur (et donc pas un élément structurel) !
De plus, on ne peut pas obtenir une portance par un enlèvement de matériau, comme le représente le ponçage, mais seulement la qualité de pose en ce qui concerne la résistance de surface du support de pose.
Je remarque à titre privé que le carreleur n'a probablement pas respecté depuis de nombreuses années son obligation de formation continue nécessaire dans l'artisanat.
Et je le dis sérieusement !
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Salutations : Klaus
Le terme "Anhydritestrich" est désuet, n'appartient plus depuis longtemps au vocabulaire technique et est appelé depuis 2003 "Calciumsulfatestrich" (CAS).
Le fait que les chapes en sulfate de calcium "absorbent l'eau" est en principe correct si l'on considère l'isotherme de sorption spécifique au matériau, mais c'est plutôt de nature académique. Les chapes en ciment s'humidifient à partir d'environ 65 % à 70 % d'humidité relative de l'air, tandis que les chapes CAS seulement au-delà de 85 %, et cela de manière marginale.
Une chape ne sera pas poncée afin d'atteindre la portance. Car les chapes, peu importe la façon dont elles sont posées, ne sont pas un élément porteur (et donc pas un élément structurel) !
De plus, on ne peut pas obtenir une portance par un enlèvement de matériau, comme le représente le ponçage, mais seulement la qualité de pose en ce qui concerne la résistance de surface du support de pose.
Je remarque à titre privé que le carreleur n'a probablement pas respecté depuis de nombreuses années son obligation de formation continue nécessaire dans l'artisanat.
Et je le dis sérieusement !
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Salutations : Klaus