Chris_HL
10.03.2017 16:14:39
- #1
Bonjour à tous,
mon amie et moi sommes déjà depuis assez longtemps à la recherche d’un terrain pour notre maison individuelle. Un lotissement neuf qui correspondrait à nos critères concernant l’emplacement central, le prix abordable et la taille se trouve malheureusement entre deux autoroutes (environ 300 m avec protection contre le bruit au nord-est et 600 m au nord-ouest – (Latitude : 53.844413 | Longitude : 10.597826)).
La commune a commandé une expertise sur la protection contre le bruit. La mesure a été prise à 4 m de hauteur avec une grille de 1x1 m. En résultat, à l’état non construit, les valeurs d’orientation de la DIN 18005/2 (55 dBA / 45 dBA) sont dépassées, mais les limites pour les zones résidentielles de 59 dBA en journée sont respectées. La nuit, la limite de 49 dBA est dépassée, c’est pourquoi les chambres doivent être construites du côté à l’abri du bruit. D’après le rapport, d’autres mesures de protection acoustique ne seraient pas utiles, car le bruit est décrit comme diffus.
Avez-vous des expériences sur la façon dont la pollution sonore évolue une fois la zone bâtie, ou sur la perception de cette nuisance ?
Pouvez-vous, d’après votre propre expérience, estimer à quel point ces limites sont judicieusement fixées ? Nous n’avons aucun ressenti pour évaluer dans quelle mesure le bruit pourrait nous déranger à l’avenir ou nuire à notre santé.
Nous attendons vos réponses et évaluations avec grand plaisir.
Cordialement et merci,
Chris
mon amie et moi sommes déjà depuis assez longtemps à la recherche d’un terrain pour notre maison individuelle. Un lotissement neuf qui correspondrait à nos critères concernant l’emplacement central, le prix abordable et la taille se trouve malheureusement entre deux autoroutes (environ 300 m avec protection contre le bruit au nord-est et 600 m au nord-ouest – (Latitude : 53.844413 | Longitude : 10.597826)).
La commune a commandé une expertise sur la protection contre le bruit. La mesure a été prise à 4 m de hauteur avec une grille de 1x1 m. En résultat, à l’état non construit, les valeurs d’orientation de la DIN 18005/2 (55 dBA / 45 dBA) sont dépassées, mais les limites pour les zones résidentielles de 59 dBA en journée sont respectées. La nuit, la limite de 49 dBA est dépassée, c’est pourquoi les chambres doivent être construites du côté à l’abri du bruit. D’après le rapport, d’autres mesures de protection acoustique ne seraient pas utiles, car le bruit est décrit comme diffus.
Avez-vous des expériences sur la façon dont la pollution sonore évolue une fois la zone bâtie, ou sur la perception de cette nuisance ?
Pouvez-vous, d’après votre propre expérience, estimer à quel point ces limites sont judicieusement fixées ? Nous n’avons aucun ressenti pour évaluer dans quelle mesure le bruit pourrait nous déranger à l’avenir ou nuire à notre santé.
Nous attendons vos réponses et évaluations avec grand plaisir.
Cordialement et merci,
Chris