mon prêteur voulait explicitement un calcul de surface habitable, il ne s’est pas contenté de la surface au sol. Voilà pour « uniquement pour le logement social ».
C’est pourquoi j’ai écrit au début « originellement » :
§ 1 Règlement sur la surface habitable - Domaine d’application, calcul de la surface habitable
(1) Lorsque la surface habitable est calculée conformément à la
loi sur la promotion du logement, les prescriptions de ce règlement doivent être appliquées.
(...)
Pour le reste, c’est alors utilisé de manière analogue, sauf indication contraire. Cela ne fait aucune différence en soi.
La maison que j’achète se trouve en zone de niveau sonore II. Puis-je donc argumenter que la terrasse au rez-de-chaussée ne devrait pas être comptée à 50 % car la qualité n’est pas suffisante ?
Pouvoir : oui.
Réussir : plutôt non – du moins pas lors des négociations. Elle sera alors éventuellement vendue au prochain intéressé.
Personne n’oblige à acheter ; personne n’oblige le vendeur à vendre. L’offre et la demande déterminent le prix.
La propriété est vendue selon l’objet – et non selon les m² d’un seul tenant. Cependant, la taille est un facteur déterminant la valeur.
Après un achat, c’est différent, droit de garantie contre les vices cachés. Alors cela dépend… Qu’a-t-on convenu, selon quoi doit-on calculer, y a-t-il un écart entre l’état réel et l’état convenu, etc. ?