Maddin
12.06.2009 19:12:42
- #1
Chers experts et utilisateurs du forum sur la construction de maisons,
dans les vérandas, il manque en effet la masse de stockage thermique des murs environnants. À côté du mur attenant, il ne reste que le sol. Cette partie de construction devrait donc être composée de la plus grande masse possible et de matériaux qui stockent bien la chaleur, n'est-ce pas ?
Cependant, pour les planchers chauffants, on doit installer autant que possible peu de masse, mais bien conductrice de la chaleur, avec beaucoup d’isolation thermique, c’est bien cela ?
Quel compromis est recommandé pour les planchers chauffants dans les vérandas en hiver ? L’isolation doit-elle primer sur la masse de stockage de chaleur ou l’inverse ? Qu’est-ce qui est écologique/énergétiquement plus judicieux ou rentable ?
Une chauffage mural dans le mur attenant est-il judicieux ? Les vitres sont en effet imperméables au rayonnement thermique...
Bien sûr, le plus écologique serait de ne pas chauffer du tout, mais il ne s’agit pas de chauffer constamment la véranda, mais qu’elle soit chauffable et par exemple utilisable pour des fêtes familiales. Pendant 300 jours, elle contribue au chauffage de la maison, je considère donc qu’il est acceptable de la chauffer 5 à 10 jours... :rolleyes:
Schennjesse mise sur son « système de stockage Hypotauscher », qui, par sa construction, semble ressembler aux anciennes chauffages hypocaustes romains. Qu’en pensez-vous, est-ce vraiment adapté comme stockage thermique à court terme ?
Concrètement, dans la véranda, des canaux chauffants au sol doivent être installés devant la surface vitrée, un plancher chauffant sur la surface restante, ainsi qu’éventuellement et/ou un chauffage mural dans le mur attenant. Selon les résultats du calcul des besoins thermiques.
À quoi ressemble l’agencement optimal du sol, si environ 15-16 cm sont disponibles à partir de la dalle en béton armé (non occupée en-dessous) ?
Merci beaucoup pour vos suggestions et conseils
Maddin
dans les vérandas, il manque en effet la masse de stockage thermique des murs environnants. À côté du mur attenant, il ne reste que le sol. Cette partie de construction devrait donc être composée de la plus grande masse possible et de matériaux qui stockent bien la chaleur, n'est-ce pas ?
Cependant, pour les planchers chauffants, on doit installer autant que possible peu de masse, mais bien conductrice de la chaleur, avec beaucoup d’isolation thermique, c’est bien cela ?
Quel compromis est recommandé pour les planchers chauffants dans les vérandas en hiver ? L’isolation doit-elle primer sur la masse de stockage de chaleur ou l’inverse ? Qu’est-ce qui est écologique/énergétiquement plus judicieux ou rentable ?
Une chauffage mural dans le mur attenant est-il judicieux ? Les vitres sont en effet imperméables au rayonnement thermique...
Bien sûr, le plus écologique serait de ne pas chauffer du tout, mais il ne s’agit pas de chauffer constamment la véranda, mais qu’elle soit chauffable et par exemple utilisable pour des fêtes familiales. Pendant 300 jours, elle contribue au chauffage de la maison, je considère donc qu’il est acceptable de la chauffer 5 à 10 jours... :rolleyes:
Schennjesse mise sur son « système de stockage Hypotauscher », qui, par sa construction, semble ressembler aux anciennes chauffages hypocaustes romains. Qu’en pensez-vous, est-ce vraiment adapté comme stockage thermique à court terme ?
Concrètement, dans la véranda, des canaux chauffants au sol doivent être installés devant la surface vitrée, un plancher chauffant sur la surface restante, ainsi qu’éventuellement et/ou un chauffage mural dans le mur attenant. Selon les résultats du calcul des besoins thermiques.
À quoi ressemble l’agencement optimal du sol, si environ 15-16 cm sont disponibles à partir de la dalle en béton armé (non occupée en-dessous) ?
Merci beaucoup pour vos suggestions et conseils
Maddin