€uro
15.05.2013 07:45:45
- #1
Bonjour,
Bien conçues, les installations de pompe à chaleur géothermique atteignent un coefficient de performance annuel >= 4,5. Éventuellement, complément par une installation photovoltaïque. Parfois, un bilan annuel entièrement couvert est réalisable.
Pour chauffage et eau chaude, un même générateur de chaleur peut être utilisé.
Avec une chaudière gaz à condensation, les frais de raccordement peuvent être, selon les régions, assez lourds. La consommation (kWh/an) est plus élevée. La solaire thermique est en maison individuelle souvent peu rentable, mais elle aide toutefois sur le papier ;-) L’offre de rayonnement solaire connaît une variation annuelle et journalière, elle n’est donc pas constante toute l’année.
Pour la production de chaleur pour chauffage et eau chaude, souvent deux générateurs distincts de puissance plus petite sont nécessaires.
On ne peut établir quelque chose de fiable, comme toujours, qu’après avoir déterminé au préalable les besoins réels (puissance, énergie) pour chauffage et eau chaude (détermination des bases).
Indépendamment de la solution envisagée, une planification/dimensionnement soigné des installations est en tout cas nécessaire.
Cordialement.
Kfw 70 et pompe à chaleur géothermique se marient assez bien. Ici, on mise sur la substitution d’un besoin un peu plus élevé par de l’énergie environnementale disponible toute l’année. Les coûts d’exploitation de la source (forage vertical) sont assez élevés. Cela peut être contourné par exemple avec un capteur à tranchée de type étroit ou en spirale (forte part d’autoproduction !)...et il est prévu une pompe à chaleur géothermique eau/eau...
Maintenant, pour poser la question ainsi, une pompe à chaleur géothermique coûte avec tout compris pas mal d’argent, c’est-à -dire bien plus qu’une installation au gaz avec solaire pour soutenir l’eau chaude, mais c’est aussi une bonne chose.
Bien conçues, les installations de pompe à chaleur géothermique atteignent un coefficient de performance annuel >= 4,5. Éventuellement, complément par une installation photovoltaïque. Parfois, un bilan annuel entièrement couvert est réalisable.
Pour chauffage et eau chaude, un même générateur de chaleur peut être utilisé.
Avec une chaudière gaz à condensation, les frais de raccordement peuvent être, selon les régions, assez lourds. La consommation (kWh/an) est plus élevée. La solaire thermique est en maison individuelle souvent peu rentable, mais elle aide toutefois sur le papier ;-) L’offre de rayonnement solaire connaît une variation annuelle et journalière, elle n’est donc pas constante toute l’année.
Pour une maison passive, un autre concept est suivi. Grâce à une très bonne isolation, la demande de chauffage est réduite. Celle pour l’eau chaude reste inchangée. Les charges de chauffage deviennent extrêmement faibles. Les gains solaires et internes jouent intentionnellement un grand rôle dans le bilan énergétique. Les pertes par ventilation représentent une part élevée en pourcentage. L’installation de ventilation prend une importance nettement plus grande. Les fluctuations de la charge de chauffage sont ici beaucoup plus importantes, bien que sur un niveau bas. Il faut vérifier si un chauffage par le sol à inertie est encore pertinent....Serait-il en général une meilleure idée de construire une maison passive plutôt qu’une maison KFW70, un meilleur investissement ? ..
Pour la production de chaleur pour chauffage et eau chaude, souvent deux générateurs distincts de puissance plus petite sont nécessaires.
On ne peut établir quelque chose de fiable, comme toujours, qu’après avoir déterminé au préalable les besoins réels (puissance, énergie) pour chauffage et eau chaude (détermination des bases).
Indépendamment de la solution envisagée, une planification/dimensionnement soigné des installations est en tout cas nécessaire.
Cordialement.