Pianist
20.03.2019 14:47:27
- #1
Bonjour à tous les lecteurs !
Une question architecturale fondamentale de ma part : il a été courant pendant des siècles d'utiliser d'une part des matériaux de construction typiques régionaux, et d'autre part de prendre en compte les particularités climatiques et météorologiques respectives.
Cependant, je remarque que dans des régions au climat rude (nord de l'Allemagne, Pays-Bas), il prédomine souvent des styles architecturaux où les maisons n'ont pas de débord de toit ni du côté des pignons ni du côté des chéneaux. Or, le débord de toit sert justement à protéger la façade et les fenêtres des intempéries.
Pourquoi donc a-t-on jugé autrefois que construire peu ou pas de débord de toit était une bonne solution ? Souvent, les pignons étaient même tirés plus haut que le toit, ce qui crée un angle intérieur qu'il faut rendre étanche avec des cornières.
Je trouve ce style intéressant d'un point de vue esthétique, mais j’y vois justement des inconvénients en termes de durabilité ou des coûts d’entretien accrus.
Matthias
Une question architecturale fondamentale de ma part : il a été courant pendant des siècles d'utiliser d'une part des matériaux de construction typiques régionaux, et d'autre part de prendre en compte les particularités climatiques et météorologiques respectives.
Cependant, je remarque que dans des régions au climat rude (nord de l'Allemagne, Pays-Bas), il prédomine souvent des styles architecturaux où les maisons n'ont pas de débord de toit ni du côté des pignons ni du côté des chéneaux. Or, le débord de toit sert justement à protéger la façade et les fenêtres des intempéries.
Pourquoi donc a-t-on jugé autrefois que construire peu ou pas de débord de toit était une bonne solution ? Souvent, les pignons étaient même tirés plus haut que le toit, ce qui crée un angle intérieur qu'il faut rendre étanche avec des cornières.
Je trouve ce style intéressant d'un point de vue esthétique, mais j’y vois justement des inconvénients en termes de durabilité ou des coûts d’entretien accrus.
Matthias